A la croisée des chemins

Publié le par meriame tout court

Je ne me sens chez moi que dans l’antre de Casablanca….. y’a des gens à qui Casablanca fait peur, moi j’ai peur pour elle, quand on lui fait mal, quand elle est lynchée….. je l’entends gémir parfois la nuit, très tard lorsque les rues sont désertées et que les étoiles deviennes des larmes de femmes….
 
Cette nuit c’est moi qui ai mal, un mal profond comme si la douleur revenait pour me rappeler que mon sourire toujours fêlé, comme si la vie voulait me rappeler que je suis marquée au fer rouge du mal de vivre, et que je saignerai à vie ….
 
J’ai cessé de douter, me suis laissée aller au luxe de d’être une femme ordinaire……
 
Je ne dors pas, je suis à ma fenêtre, j’ai froid mais je préfère la compagnie de Casablanca que me retrouver au chaud sous mes couvertures à combattre mes démons…… et pourtant j’ai presque envie de partir, de tout laisser derrière moi et reprendre la route vers l’inconnu, l’aventure…..je suis amazigh mes ancêtres étaient des nomades ai-je tenu cela d’eux ? ou simplement est ce mon incapacité de gérer la stabilité ?
 

Publié dans Divagation

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N
fidele à tes commentaires où tu cires les bottes d'une femme qui se recherche dans ses illusions. Mohamed est la et toujours la pour enteriner tous ce que tu resens, ce qui te gene, ce qui te plais, ce qui t'emmerde... ta de la chance d'avoir un toutou qui te suit partout et qui aime jouer ce role de figurant à vie. peut etre qu'il a des sentiments pour toi ou peut etre qu'il a un complexe qu'il traine avec lui depuis que sa maitresse lui donnait la fessée!! mefie toi de ceux qui sont toujours d'accord avec toi et cherche la verité chez ceux qui te font du mal car au moins ils t'auront aidé à te remettre en cause et y voir plus clair.de toute facon Mohamed n'a rien compris à ton texte où tu prends casa pour un pretexte pour exprimer ta frustraction face aux choses de la vie et surtout l'handicap de ne pas pouvoir faire le choix face aux sentiments. tes mots  tu les regardes et tu les vois lointains et tu vis sur les souvenirs de tes souvenirs, mais tres vite tu te resigne à te laisser emporter par la raison de la solitude car tu ne peux pas profaner des souvenirs qui ont été vecus à deux. et puis au bord de ta fenetre il te restera les reves et puis d'interminbales reves en attendant la levée de ton ombre, le matin d'un corps où les mots tomberont dans ton ame comme la rosée sur l'herbe.
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M
je partage ton amour pour casablanca malgrès le bruit, la pollution, etc.
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