La dance du torrero

Publié le par meriame au pays de la film industry

Hier j’ai pensé à toi…. non pas que t’as cessé de me hanter, mais je me suis habituée à vivre avec ton souvenir sans raviver ta présence…hier j’ai même prononcé ton prénom à haute voix, juste pour l’entendre résonner encore une fois…. juste pour me l’entendre dire….

 

Hier tu m’as manqué….non pas que je t’ai oublié, mais je me suis endurcie à la douleur de vivre sans toi….hier j’ai même sorti tes derniers vestiges que je garde honteusement, jalousement, je les ai humé, reniflé, bu……juste pour me souvenir de ton odeur….

 

Hier j’avais faim de toi…..non pas que je me suis un jour rassasiée de toi, mais je m’étais déclarée anorexique de ton amour….hier j’ai même serré l’oreiller très fort pour dormir en me répétant que j’étais bien loin de toi….  

Publié dans Divagation

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S
Bonjour,Bonne année 2008.... Je t'invite à aller écouter sur ma page d'accueil, ma dernière chanson "Avec ton souvenir" mise en musique et chantée par "Wil". Un Cd sortira cette année...Bises amicales et poétiquesSerge Lainé
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M
mariama, ti a promit chak jour une parti di scénariot di fanida<br /> é aujourdhui rien di tou !
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M
nounou fi houfra cé pa toy ki parlé de katioucha é de ta kopine  la derniaire foix ? <br /> ti parle mieux mintenon o femes !<br /> mé moy ji ne croix pa ke mariama é un désert avek une seul rose<br /> elle é un jardin plain de fleurs ki ne demonde ka etre arosés par l'amour d'un seul homme é cet homme é dijà don son coeur<br /> donk tro tart por les otres hommes ;-)
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N
<br /> Quel gâchis? Quels regrets? Quelles solitudes? Quelles pleures? Quelles vagues? Quels baisers? Quelle mort? Le pourquoi du moment n’est que la réponse de l'indifférence et des séquelles d'un passé plus fou qu'un suicide. Tu as essayé, en vain, d'emmener ceux que tu aimes dans le jardin de tes défauts pour leur expliquer tes qualités et  tu aurai essayé de les dissuader de ne pas me faire des préjugés et des sous entendus pour que ton amour trouve son chemin. Mais la réticence de l'être pèsera lourd sur ton cœur et au lieu de prendre ton amour, ton âme et ton cœur en totalité, on a préféré te décortiquer en fonction de tes syllabes, tes mots et tes regards. Les oiseaux mourront étouffés par les ails et la rose fanera de ses épines et la terre s'enterrera par la faute du vent. Toi tu ne volerai pas et tu rejoindra la rose sous terre en attendant le vent qui m'emportera vers les cieux de la liberté.<br />  <br /> <br /> Tu as toujours craint les peut être et tu fui la simplicité de l'amour. tu médites aujourd'hui sur cet amour blessé par la faute du temps et des différences caractérielles ou alors des soumissions désespérées. Tu as tant d'amour à revendre et Tu as tant d'amour à offrir. Tu cherches dans le jour le bruit doux de ses pas et tu cherches dans la nuit les gémissements solitaires de son oreiller. Tu cherches son silence où Tu pourrai mettre un peu de ton silence et tu cherches ses rires sur les quels tu pourrai trouver ton réconfort.<br />  <br /> <br />    <br />  <br /> <br /> Les choses ne peuvent se conjuguer uniquement au passé simple. Le future de tes pulsations tu les imagine si loin et si injustes, mais sûrement méritées et qui t'accompagneront vers ta tombe froide mais familière.<br />  <br /> <br /> tes jours se serrent les uns les autres et ton temps devient presque insignifiant. ta mémoire te conduit jusqu'aux malentendus et à chaque pensée tu organises ton jugement dernier. ton choc émotionnel a été si fort et si injuste pour ne pas en prendre une résolution définitive.<br />  <br /> <br /> Dans la nuit du cœur, la lente goutte de son nom tarde et tardera à venir, mais au fil du temps elle glisse, tombe, brise et déploie en silence son eau. Tu prends à chaque fois le même chemin qui te mène sur les traces de cette eau bénite et tu l'imagine déjà de belles cascades et d'infinies vagues dont le souffle ne s'estompera jamais dans ton oreille. ton crépuscule tombe à chaque fois dans ses yeux et en lui tes derniers rayons tombent en mourrant.<br />  <br /> <br /> Le jour où on te demandera qui tu es, je dois parler de ton profond chagrin, de mon bel amour, de ton regard qui fuyait l'horizon par timidité. Le jour où on te demandera d'où tu viens, tu dois remuer les choses brisées de ton cœur tourmenté et les croisades des souvenirs et puis surtout des comptés où les chemins ne se croisent que par coïncidences.<br />  <br /> <br /> Aujourd’hui tu jalouses les fleurs offertes au nom de l’amour et  tu envies tous ceux qui font la cour aux fesses plutôt qu’aux femmes. Pour ce qui est d’espérance, tu te remets au printemps. Pour ce qui est du présent, tu te remets au passé. Pour ce qui est de vivre tu te remets aux rires. Pour ce qui est d’amour, tu me remets à lui.<br />  <br /> <br /> Cet amour si grandiose soit-il, a fait de toi un esclave de l’homme et du temps des habitudes mesquines et irréelles. Tu as été dressée par l’amour jusqu'à la mort des fleurs et puis, tu t’es rendu compte que tu as atteint cet âge idiot où il est temps de rendre des comptes et faire le bilan de ce que tu as fait et de ce que tu aurais du faire. Le cœur se fait lourd et les yeux se marquent des regards détournés. Tu as atteint cet âge où l'on croit à dieu pour mieux attendre sa mort. Tu as atteint l’âge où le lit est toujours si petit et si froid.<br />  <br /> <br /> Tu te ressaisi du temps perdu et tu reviens sur tes pas pour de baisers en baisers et abolir les distances qui te lient à la vie. Chemin faisant, tu as perdu le chemin secret de l’amour et tu t’es rendu compte que dans les jardins perdus de ton cœur, il y a tant de poison et tant de mains qui ont mutilé les guirlandes et exécuté les hirondelles d’un jour. Ils ont fermé les baisers et t’ont pendu sur mes bras enlacés. Et puis tu as essayé en vain de peupler cet engrenage de souffrance et surtout le vide du silence et l’angoisse de te traîner vers une vie sans issue.<br />  <br /> <br /> tes larmes te collent aux paupières et tu prends la main de tes rêves de peur de te perdre dans trop de chagrin. Pourtant tu te perds dans l'imagination de ton futur où il n'y a pas assez de vent pour agiter les fleurs de ton printemps ou bien arracher l'ultime rose de ton désert.<br />  <br /> <br /> Ta vie parait plus aujourd'hui un labyrinthe où les chemins se croisent et se recroisent éternellement. Tu as parfois fait des choix miraculeux pour échapper à ce labyrinthe et choisir peut être un chemin droit, aussi droit que les lignes de ton cimetière. Mais tu as fini par retrouver mon labyrinthe pour t'aligner sur tout ce qui est raisonnable et faisable.<br />  <br /> <br /> La vie ne sera pas la notre mais on vivra avec le sens qu'on voudra bien lui donner. Et puis il y aura surtout l'amour d'une vie qui ne fera que jaillir nos sentiments et nous retrouver dans l'autre par ennuie, par souffrance, par obligation, par passion, par besoin, par sacrifice, par peur ou alors par tout ça. Tout dépendra de ce qu'on voudrait de cet amour et de cette vie. Toi tu en a fait un choix éternel de retrouver ton enfance tumultueuse, l'amie de mon âme, briser ton égoïsme et surtout la passion de réhabiliter la beauté.<br />
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O
Meriame a oublié d'annoncer à Kenza et aux autres qu'en attendant une "bêtise" cinématographique signée moi-même, bein je jouerai le rôle de l inspecteur aux yeux bleux-verts dans son film -Fanida- :)
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